La pratique d’Armèle Portelli se concentre sur la relation entre la mode et l’identité et tend à critiquer « l’attitude des victime de la mode ».
Son travail le plus récent est une série de photographies manipulées par ordinateur, tirées d’images de magazines de mode dans lesquels elle efface les vêtements.
Enlevant le véhicule principal de l’apparence autrement échangeable des modèles de mode, elle laisse derrière elle des hommes et des femmes anonymes et sans corps.
Pour la Fenêtre 42, elle a choisi une version agrandie de ces manipulations. Imprimé sur du papier transparent, son travail devient un constat pour le vide de ces images.